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La Malice

Le disco n’est pas mort ! Sortez votre boule à facette et vos pantalons à patte d’éph’, La Malice revisite le disco à la façon 21ème siècle 🙂

L’histoire raconte que ce duo est née d’une rencontre maléfique d’un « méchant rockeur grooveur » (alias Benjamin) avec Corinne, « une angélique qui était pure et qui écoutait du Kassav et du -M-« . Mais ça, c’était avant …

 

Superorganism

Collectif de huit musiciens venant d’Angleterre, du Japon, d’Australie, ou encore de Nouvelle-Zélande, ils ont transformé l’une des grandes maisons de l’Est londonien en quartier général et studio d’enregistrement. A leur tête, une jeune étudiante japonaise de 18 ans, Orono.

Leurs chansons pop et acides passent au crible l’ère Internet, ses réseaux sociaux, ses selfies, ses écrans et la célébrité fast and furious. Sous la plume d’Orono, elle expose la face morose et égocentrique d’une génération connectée ainsi que le désir narcissique de reconnaissance à travers les réseaux-sociaux, l’auteure parle même d’« idiocratie ». Elle évoque également un fort auto-centrisme qui s’avère être un bon prétexte pour suivre ses envies sans prêter attention à un quelconque jugement.

Victor Démé

Victor Démé est un chanteur burkinabé originaire de la ville de Bobo-Dioulasso, né en 1962 et mort le 21 septembre 2015. Dans les années 1980 il gagne plusieurs micro-crochets dont le concours du Centre Culturel Français de Bobo-Dioulasso organisé en partenariat avec RFI en 1989, et le premier prix de la Semaine Nationale de La Culture (SNC) dans sa catégorie, en 1990. Dans les années 90, il joue dans des orchestres dont l’Echo de l’Africa et le Suprême Comenba. En 2007, avec le journaliste David Commeillas en reportage à Ouagadougou, ils produisent son premier album.

Victor Démé meurt le 21 septembre 2015 dans sa ville natale, Bodo-Dioulasso suite à une crise de paludisme.